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Annual General Assembly

Étude 2022 sur la numérisation et la cybersécurité dans les PME

La «fin» annoncée de la pandémie met également un terme à la flexibilité des PME. Les résultats de la dernière étude sur la numérisation et la cybersécurité dans les PME montrent que le travail rincipalement depuis le domicile ne s’est pas établi. Il en va de même en ce qui concerne la cybersécurité: les entreprises interrogées n’accordent que peu d’importance à ce sujet pourtant très médiatisé. On ne constate d’ailleurs pas une généralisation de la mise en place de mesures organisationnelles et techniques visant à améliorer la cybersécurité. Un tiers des PME interrogées délèguent leur sécurité informatique à des prestataires externes. La qualité des prestations proposées est donc décisive pour la sécurité des petites et moyennes entreprises suisses.

L’enquête a été réalisée pour le compte de la Mobilière, de digitalswitzerland, de l’Alliance Sécurité Digitale Suisse, de la Haute école spécialisée du Nord-Ouest de la Suisse (FHNW) – centre de compétences «Digitale Transformation», et de l’Académie suisse des sciences techniques (SATW).

Consultez l’étude en allemand. Pour plus d’analyses, veuillez lire le livre blanc en allemand, français et italien.

Vous pouvez lire le communiqué de presse en allemand, français et italien.

Lisez la présentation de la conférence de presse en allemand.

digitalswitzerland considère l’introduction de l’obligation de signaler les cyberattaques pour les exploitants d’infrastructures critiques comme une étape importante et juste. Le projet du Conseil fédéral nécessite encore des précisions sur un certain nombre de points afin d’éviter toute ambiguïté. Le champ d’application de la loi offre une marge d’interprétation importante quant aux entreprises concernées par l’obligation de signalement. Il convient également d’éviter tout chevauchement avec les obligations de signalement déjà existantes, afin de limiter autant que possible la charge de travail pour les personnes concernées. Avec une base légale plus précise et différenciée, l’obligation de signalement pourra encore mieux déployer ses effets.

Dans sa forme actuelle, le projet de loi offre une marge d’interprétation importante concernant les entreprises qui doivent remplir l’obligation de signalement. Afin d’éviter que cette obligation n’incombe à des entreprises qui n’entrent pas en ligne de compte pour la cybersécurité des exploitants d’infrastructures critiques, une définition plus claire des entreprises soumises à l’obligation de signalement est nécessaire. digitalswitzerland propose une obligation de signalement échelonnée selon la criticité des entreprises, afin de réduire le cercle des organisations concernées. De plus, l’objet de la déclaration doit être décrit plus précisément afin d’écarter tout malentendu. Ainsi, le texte de loi parle au choix de cyberincidents, de cyberattaques ou de failles.

Le sens du service doit mettre la priorité sur l’utilité pour les entreprises concernées
Aujourd’hui déjà, les entreprises signalent les cyberincidents à certains services de l’État. C’est pourquoi digitalswitzerland propose la création d’un « guichet unique » pour les signalements dans le domaine du cyberespace. Cette mesure, orientée vers le service, augmenterait considérablement l’utilité du projet de loi pour les entreprises concernées. L’obligation de signalement doit permettre aux autorités de proposer une prestation reposant sur un partenariat avec l’économie. Dans ce but, il est nécessaire de bâtir une confiance réciproque. C’est pourquoi digitalswitzerland rejette totalement les dispositions pénales proposées, qui vont à l’encontre de l’esprit de coopération du projet et contribuent à renforcer la méfiance entre les parties concernées. Et ce, dans un domaine où les intérêts sont en réalité convergents.

Andreas W. Kaelin, Senior Advisor Cyber Security de digitalswitzerland, commente : « En ce qui concerne l’ensemble du projet de loi, il ne faut pas oublier que si l’obligation de signalement contribue effectivement de manière importante à la cybersécurité au niveau national, elle représente avant tout une charge administrative pour les entreprises concernées. Il faut donc des directives claires sur « qui » doit effectuer le signalement, et « pour qui », « à quel propos » et « dans quelles » conditions.

Contact pour les médias
Andreas W. Kaelin, digitalswitzerland, Secrétariat de Berne
Tél. +41 31 311 62 45 │ andreas@digitalswitzerland.com

Zurich, le 23 décembre 2021 – Nicolas Bürer, directeur général de digitalswitzerland, quittera, à sa demande, l’initiative locale en janvier 2022. Stefan Metzger, responsable des activités suisses de l’entreprise de conseil en informatique «Cognizant» depuis 13 ans, prendra sa succession. Diana Engetschwiler, responsable de la Journée suisse du digital, deviendra directrice adjointe et succèdera à Sébastien Kulling, qui rejoindra de son côté la Fondation digitalswitzerland.

Après avoir brillamment assumé la fonction de directeur de digitalswitzerland pendant près de cinq ans, Nicolas Bürer souhaite donner une nouvelle orientation à sa carrière. Il quittera l’initiative locale en janvier prochain. Nicolas Bürer a rejoint l’organisation en 2016 en tant que directeur. Sous sa direction, digitalswitzerland s’est développée dans tout le pays et compte aujourd’hui 240 organisations partenaires. L’année dernière, Nicolas Bürer a également été responsable de la fusion opérationnelle avec l’association faîtière de l’économie numérique «ICTswitzerland». L’objectif de digitalswitzerland est de faire de la Suisse un pôle d’innovation mondial leader dans le domaine du numérique.

«Je remercie chaleureusement Nicolas pour son engagement envers digitalswitzerland», déclare Sascha Zahnd, président de digitalswitzerland. «Il a su développer l’initiative avec succès et a transformé une vision régionale en un mouvement national qui a entretemps évolué à l’échelle internationale. Grâce à lui, nous sommes parfaitement armés pour affronter l’avenir. Je souhaite plein de succès à Nicolas dans ce nouveau chapitre de sa vie professionnelle et me réjouis de savoir qu’il continuera à apporter son soutien à digitalswitzerland en qualité de conseiller.»

La direction de digitalswitzerland sera désormais assurée par l’expert du numérique Stefan Metzger. Dans le cadre de son dernier poste en tant que directeur général, qu’il a occupé pendant 13 ans, Stefan Metzger a été responsable des activités suisses de l’entreprise de conseil en informatique «Cognizant». Active dans le monde entier, l’entreprise propose ses services à d’importants clients dans les domaines de la banque et de la finance, des assurances, des sciences de la vie et de la pharmacie, ainsi que du commerce de détail et des biens de consommation. Depuis un an, Stefan Metzger s’engage aux côtés de digitalswitzerland en tant que membre du comité exécutif.

«Les compétences numériques et la force d’innovation d’un pays deviennent centrales pour chaque nation», explique Marc Walder, fondateur de digitalswitzerland et CEO de Ringier. «Avec Stefan Metzger, nous gagnons un expert qui, en plus d’être reconnu dans le domaine de la transformation numérique, dispose d’une expérience internationale. Au cours de ces six dernières années, digitalswitzerland s’est développée pour devenir l’initiative locale la plus importante de Suisse. Stefan Metzger va contribuer à amplifier ce mouvement.»

Diana Engetschwiler, directrice de la Journée suisse du digital, lancée il y a cinq ans, deviendra directrice adjointe de digitalswitzerland début 2022. Elle succèdera à Sébastien Kulling, qui rejoindra pour sa part la Fondation digitalswitzerland en tant que directeur exécutif. Au cours des quatre dernières années, Sébastien Kulling a joué un rôle déterminant dans le développement de digitalswitzerland en Suisse romande.

Contact médias
Eliane Panek
Directrice de la communication
digitalswitzerland
+41 76 559 07 70
eliane@digitalswitzerland.com

Étude 2021 sur la numérisation et la cybersécurité dans les PMEie zur Digitalisierung und Cybersicherheit in KMU 2021

Les petites entreprises suisses font preuve de flexibilité pendant la crise du coronavirus. Pour autant que les activités professionnelles le permettent, des infrastructures modernes rendent le télétravail possible. Depuis le début de la crise, le recours à cette solution a doublé. Le revers de la médaille: alors qu’un quart des entreprises interrogées déclaraient avoir été touchées par des cyberattaques en 2020, ce chiffre s’élevait à plus d’un tiers lors de la deuxième enquête. Des mesures techniques de pointe sont mises en œuvre pour parer aux cyberattaques. Cependant, beaucoup reste à faire dans la réalisation de mesures organisationnelles telles que l’exécution d’audits de sécurité et la formation des collaborateurs.

L’étude a été réalisée pour le compte de la Mobilière, de digitalswitzerland, de l’Alliance Sécurité Digitale Suisse, de la Haute école spécialisée du Nord-ouest de la Suisse (FHNW) – centre de compétences «Digitale Transformation», et de l’Académie suisse des sciences techniques mis en œuvre par gfs-zürich.

Lisez l’étude en allemand.

Le communiqué de presse est disponible en allemand, français et italien.

Lisez la présentation de la conférence de presse en allemand et en français.